Nous ouvre grand les bras...
Air sublime...
S’en vont bredouilles les remords morts de l'été
L’angoisse mûrie...
Apres les journées fleuries
Étire son désespoir des nuits moroses
Où la détresse se fait infinie
...Où ma détresse se fait infinie
Où les aveux tombent incessamment
Telles ces feuilles mortes..
Mortes pour avoir toujours cru...
En la providence, mais enfin mortes...
Et n'en finissent pas d'écourter notre vie
Et de précipiter l'échéance...mais tant pis
La vérité n'en est que plus vive
Et nos yeux s'accordent enfin..
À s'acquitter du lourd fardeau...
Telle la rosée du matin
Enfin, rosée funèbre, mais c'est le destin.
09/11/1999
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